Je suis venue par curiosité : un cube ? En verre ? Au-dessus de la ville ? Mais pourquoi ?
Le premier contact : un parking, pas beau. Et puis, on monte. L’accompagnatrice calme, douce, apaisante. Le cube dégage une bonne odeur de bois. Il fait beau. Les hirondelles volent tout autour. Et c’est parti… pour un grand moment de solitude. Être face à soi-même, son intériorité. Ca fait un peu peur. En plus, il faut laisser son téléphone. Puisque c’est comme ça, j’enlève ma montre… Plutôt en progrès… Voilà, je me suis trouvée une âme de contemplative. L’espace et le temps se sont rejoints. J’étais entre le ciel et la ville. Les toits se détachent sur un ciel de gris différents, sous l’ordre de notre soleil.
D’un coup, une agitation sur la place. Tout le monde fait vite, semble agacé. Il leur faut faire vite et moi, je me surprends à avoir envie de leur crier : « Calmez-vous ! Prenez le temps ! C’est si beau là-haut ! »
Un super moment, un instant magnifique.
Merci !!!
Veille du 8 août 2018, 20h22.