Difficile de raconter tant l’attention est distraite en permanence, un grand théâtre désordonné. On envisage un temps le parking comme un jeu de Tétris. Mais voilà qu’on entrevoit une silhouette familière, mais le point de vue est trompeur. Puis le cerveau s’amuse à imaginer dans chaque immeuble, chaque étage, chaque cuisine, chaque cafetière etc…
Le rythme des marches relève de l‘anarchie : petits pas bringue balants, escarpins se hâtant, clodo claudiquant, fauteuil grinçant. Et comme un rayon de soleil déclinant, les petits signes que tu m’adresses en t’éloignant toi qu’on appelle Nina Hagen.
Veille du 19 octobre 2017, 17h56.