Aujourd’hui après un orage de fin d’après-midi, le ciel est moitié ombre moitié lumière. Dans le cube, je découvre avec plaisir que j’ai le corps à hauteur d’oiseaux. Il n’est pas si ordinaire d’être au milieu de leur vol, de leur chasse.
Je regarde la place, tel une fourmilière. Les habitants, les hommes, les femmes, les jeunes, les vieux se croisent et repartent on ne sait où. Les rayons du soleil vont se cacher derrière la montagne. Ils éclairent de leurs derniers rayons un avion qui traverse l’azur et va se cacher derrière les nuages. On dirait une bille, un calot peut être lancé par un géant.
Je remercie les organisateurs et la créatrice de ce projet qui est absolument intéressant.
Merci à tous
Veille du 13 juillet 2018, 20h55.