Il y a 6 ans, cette ville m’était encore inconnue, étrangère. Je devais y être de passage.
Ce soir je suis là, debout à l’observer, à la veiller. Les souvenirs se bousculent. Je me revois en 2014 à pousser le landau par une nuit de canicule, car mon premier fils ne voulait pas dormir. Puis un passant me fait signe. Je souris. Je reviens sur ces quelques années passées qui m’ont permis de m’approprier ces rues, ces maisons. Et après quelques temps. Le silence. Tout est calme. Apaisé.
Merci pour ce beau projet auquel j’ai eu la chance de participer.
Veille du 17 décembre 2017, 15h57.