La première chose qui m’a frappée en entrant dans Ce cocon de bois, c’est notamment l’odeur qu’il dégageait, une odeur agréable qui nous ferait penser à un chalet au milieu de la forêt, en plein hiver.
La deuxième, ce sont les quelques personnes (des veilleurs sans doute) qui, malgré la distance et le fait que nous ne nous connaissions pas, m’ont saluée amicalement (que je leur ai rendu évidemment).
Et malgré le fait que le soleil ne se soit pas montré à notre rendez-vous, j’ai pu voir la beauté d’un soir de semaine, où les gens se retrouvaient après leur travail, autour d’un verre ou d’une table de restaurant.
Le temps est également passé plus vite que je ne l’aurais pensé et petit à petit que la nuit tombait, les gens s’estompaient eux aussi.
Veille du 16 août 2018, 20h08.