Evreux dans le brouillard.
La place était tout juste visible et petit à petit les alentours se sont dévoilés : enseignes, toitures, façades.
Quelques signes de vie : fumées, lumières, ballet des voitures, joggeuse,…
Les choses n’étaient pas visibles de prime abord et c’est ce qui m’a plu. Savoir qu’elles étaient là.
Il y avait une liberté, un apaisement et une douceur dans ce silence cotonneux troublé.
Veille du 8 avril 2018, 7h19.