Enfin coupé du monde, libre de chanter, de rire aux éclats dans mes pensées, de crier, de m’abandonner un instant sans culpabilité.. ! Bercé par ce paysage enneigé inconnu où selon les plans on peut puisé nature, ville, pesanteur, horizon, grand bleu, grand blanc, portraits et nature morte. Chaque cadrage offre son lot de détails inattendus. Parfois subtil et fascinant, parfois grossier et immobiles. Peu importe le contenu, je reste imperturbable devant le privilège de ce moment hors du temps. Les oiseaux sont fiers, les nuages sont apaisants. Quelques chaumières fument, les gosses sont content. Il n’y a que le bitume qui pour passer le temps a l’indifférence des quelques passants.
Merci pour cette belle initiative. Un moment à proposer à tous ceux que vous aimez. Merci à Cécile et Yannick.
Veille du 6 février 2018, 16h59.