Je me croyais prête à « tout ». L’étais-je vraiment ?
Très difficile de laisser venir l’imprévisible, le « jamais encore pensé ». Après avoir repéré les lieux d’Evreux déjà connus, ce sont imposés à moi les lieux où je connaissais des personnes, des collègues, amis, …
Le soleil me « gênait » pour voir le lieu où j’ai travaillé. Pourtant, alors que j’allais d’un bord à l’autre, je n’avais pas vu que dans l’autre vitre, le bâtiment cherché apparaissait, comme dans un miroir. C’est cela qui m’a permis de « décrocher » : ce n’est pas ce que l’on cherche que l’on voit, c’est ce que l’on ne cherche pas… De multiples exemples vécus me l’ont confirmé. Merci pour cette belle heure de vie !
Veille du 24 août 2018, 19h53.